EZECHIEL 33.7

EZECHIEL 33.7

Alerte à la puce ! !

LA MARQUE DE LA BÊTE...Nous en parlons depuis des mois mais on nous traite de conspirateurs... nous ne sommes pas conspirateurs, nous sommes visionnaires, c'est différent.

Et la puce électronique est là. La mafieuse Food and Drug Administration vient d'autoriser son implantation sous la peau. Voilà votre future carte d'identité, bancaire, de sécurité sociale, passeports etc... un kit où tout sera intégré pour votre sécurité et votre confort. C'est ce qu'il vous diront.

Le matricule sous la peau pour mieux vous avoir avoir à l'oeil surtout... directement relié à un ordinateur et à un satellite. Il va vraiment devenir difficile de faire des faux pas.

Mais celui qui ne la portera pas ne pourra rien acheter ni rien vendre... est-ce que cela vous rappelle quelque chose ? Si nous vous disons que le code barre de la dite puce comprendra 3 fois 6 chiffres (666), cela vous met-il sur la voie ? Non ? Alors relisez l'Apocalypse de St Jean : "Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, 17 et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18 C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six." Apoc. 13/16-17-18.

Ceux qui la refuseront vivront très mal mais ils seront les résistants aux oppresseurs qui sont en train de mener l'humanité à l'esclavage. A bon entendeur, salut...

LES MAÎTRES DE L'OMBRE VONT ENFIN POUVOIR ARRIVER A LEURS FINS...

VeriChip : la première puce à implanter dans le corps humain homologuée par la Food And Drug Administration américaine… ou « Big Brother Inside »…

Le mercredi 13 octobre 2004, la puissante et intransigeante Food and Drug Administration (FDA) américaine a autorisé la mise sur le marché de la première puce implantée sous la peau, et son utilisation par les hôpitaux américains (voir l'article de l'Atelier du 14 octobre à ce sujet).

Développée par la société Applied Digital Solutions, cette technologie a de quoi faire peur. Il s'agit d'une puce de la taille d'un petit grain de riz, qui utilise la technologie RFID et dont les dérives potentielles font l'objet de nombreux débats aux Etats-Unis comme en Europe. Insérée sous la peau du patient, elle est invisible et affecte à son porteur un numéro à 16 chiffres.

La société indique que le meilleur endroit pour placer la puce se trouve au niveau du triceps, entre le coude et l'épaule du bras droit. Un scanner propriétaire permet de lire le numéro. Il transmet une impulsion d'énergie qui « réveille » la puce - qui ne possède pas de source autonome d'alimentation, ce qui permet sa miniaturisation et fait le succès des puces RFID.

Elle ne s'use pas, n'a pas besoin d'être rechargée, est peu chère à produire… et vous accompagne partout sans même que vous ne vous en rendiez compte. Une fois « éveillée » par le scanner, elle transmet alors son numéro d'identification. Il ne reste plus qu'à se connecter de façon sécurisée par Internet à une base de données qui va contenir toutes les informations médicales du patient.

Simple et très probablement efficace en matière médicale. D'importantes applications sont déjà prévues pour les patients atteints de la maladie d'Alzheimer, de diabète et autres maladies pouvant nécessiter des interventions rapides des services d'urgence, avec des protocoles spécifiques. Il apparaît évident que de très nombreux malades pourront être sauvés en cas de problème grâce à cette technologie, qui va réduire les erreurs thérapeutiques en cas d'intervention urgente. Elle est aussi une réponse possible à l'épineux sujet du dossier médical informatisé, qui va se mettre en place notamment en France, et dont tous attendent une importante réduction des coûts de la santé.

Mais il y a de quoi s'inquiéter. Car les implications en terme de protection des données, et le développement d'autres usages de la puce sont évidemment très simples à imaginer. Cette puce, c'est potentiellement du « Big Brother Inside »… D'ailleurs, il n'est pas nécessaire de pousser l'investigation beaucoup plus loin que le site d'Applied Digital Solution pour trouver de bonnes sources : http://www.4verichip.com/index.htm .

La base line de la compagnie est tout à fait explicite : « fournir une identification sécurisée et infalsifiable pour les besoins médicaux, la sécurité financière et autres applications ». La société elle-même ne consacre qu'une partie de ses activités au domaine médical, et vient plutôt du domaine de la sécurité. Sa vocation est de proposer de la sécurité grâce à l'innovation. Et toutes les technologies sont mises en œuvre : de la puce RFID, au positionnement par GPS et à la géolocalisation, en passant par la sécurisation des infrastructures de télécommunication.

La société est d'ailleurs alliée à une autre entreprise, spécialisée dans l'identification de toutes sortes et au nom particulièrement évocateur : Digital Angel ! ( http://www.digitalangelcorp.com ). Un des leaders mondiaux de l'identification animale et de tous types de solutions de traçabilité, jusqu'aux dispositifs de pilotage et de monitoring. La compagnie s'est aussi fait une spécialité du développement de dispositifs de détections de toutes sortes : repérage des mouvements, de la chaleur, etc. Digital Angel et VeriChip : quelle alliance !

C'est bien un monde potentiellement effrayant qui se dessine sous nos yeux, et deux de ses acteurs viennent de réussir une avancée radicale avec cette décision de la FDA. Or, sur ce sujet, aucun débat n'a encore véritablement eu lieu, alors que l'on atteint ici une des limites de ce que les américains appellent la « privacy ».

Entre volonté d'anonymat, protection de la vie privée et des données personnelles, amélioration de la sécurité dans un environnement profondément marqué par les attentats du 11 septembre et enfin le besoin de maîtriser les coûts de la santé, il faudra arbitrer. Et c'est probablement au législateur d'intervenir, comme sur de nombreux sujets liés aux biotechnologies et aux nanotechnologies. Les technologies sont là pour partie, prêtes à être déployées. Le débat démocratique devient urgent, alors que le dispositif VeriChip va pouvoir être déployé à grande échelle.

Dominique Piotet

A San Francisco pour l'Atelier BNP Paribas

Sources : http://www.atelier.fr/article.php?artid=28474



06/06/2008
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